« Je voudrais te dire que j'ai gravé ton sourire. » Pv : Fleur d'Améthyste

« Je voudrais te dire que j'ai gravé ton sourire. »

Abysse Perdue somnolait dans la tanière des guerriers. Il fermait les yeux l'esprit ailleurs. Son lit froid sentait la vielle herbes sèche, en plus d’être froide, mélangée a ses poils roux éparpillée sur sa litière. La chaleur des félins à l’intérieur émancipaient le froideur du dehors, ce qui donnait une atmosphère paisible et chaleureuse. Ses yeux divaguaient de l'un à l'autre, ne trouvant pas le sommeil, il écoutait le souffle de ses compagnons. C'était incroyable de se dire qu'il n'en connaissait que quelques un. Il n'avait pas vraiment beaucoup d'amis, il ne cherchait pas a s'en faire. On ne l'aimait pas trop, il ne cherchait pas non plus a se faire aimer. Que personne n’était vraiment amis avec lui, qu'il n'avait jamais eue avec personne de relation sauf pour un simple bonjour sans signification. Personne n'avait besoins de lui, enfin il le pensait. Il préférait son éternel solitude, que d’être avec des guerriers dont il ne trouvait aucun défaut. Pour lui les autres n’étaient que décor dans une vie morose et ennuyante, un décor l’on doit d’admirer sans jamais en profiter. Il ne pouvait pas, c'était simple, il ne voulait pas. Son père ... Il se retourna brusquement en repensant a ça, convaincu qu'il n'arrivait pas à dormir se soir. Depuis quelques soir, il ne trouvait pas le sommeil, la fatigue se voyait sur chacun de ses traits. le pauvre avait perdu toute sa rapidité, il n'arrivait plus à aussi bien chasser qu'avant. Éteint de fatigue, ses yeux bleu semblaient prêt a se fermer a tout moment. Le guerrier roux rêvait de s'endormir, plonger das le pays des rêves pour ne plus penser. Mais il ne pouvait pas, ses rêve sont hanté par cette chatte au pelage noir ébène. Alors il se leva, se faufilant entre les félin endormis et sortis dans la froideur intense. Dehors la lune était pleine, elle inondait les paysages de sa blancheur argentée Au y voyait clair, et Abysse Perdue décida de sortir se changer les idées. Une ballade nocturne ne lui ferait pas de mal, il serait seul mais il s'en fichait, comme toujours. il avait comprit que ce serai inévitable. il lui semblait qu'il doive passer sa vie seul au monde, hantée par les images du passée qui lui reviennent sans arrêt.

Ses larges pattes puissant écrasais la neige. Le manteau immaculé l'éblouissait tandis qu'il sillonnait entre les pins. Les grands pins étaient noirs comme des monstres dans la nuit noire, avec leurs aspect apocalyptique et leurs branches crochues. Certains sont tombé, gisant mort sur la terre froide, leurs branches emmêlée. Le rouquins bondit sur l'un d'entre eux et failli perdre l’équilibre. Il redressa sa queue pour le retrouver. Fatigué il failli tomber en sautant de l'autre côtes et continua sans marche en évitant tout les obstacles. Son corps élancée lui semblait étrangement lourds, et à mesure qu'il s’enfonçait dans la foret il songeait qu'il n'arriverait peut être plus à rentrer. Ils se trouvait au grands pins maintenant, leurs cimes pintait vers les douces étoiles. Il s'assit en contemplant ce magnifique paysages. Dans ce magnifique paysages au reflet bleuté il se sentait étranger, lui le matou au long pelage roux, avec ses yeux d'un bleu éclatant. même au yeux de la nature il ne se sentirait jamais chez lui. Il croit qui même physiquement il se sentirait étranger. Il ferma ses yeux océan et soupira attristée qu'il aurait tant aimé, ne pas être lui même. Il possédait ce roux que personne n'avait. Pourquoi lui n’avait-il pas le droit à cela ? Il tendit vers le ciel sa patte espérant touché ce désir si beau. Il adressa en silence un prière au clan des étoiles. Sa mère veillait-elle sur lui et sa famille ? Il n’avait jamais eu aucun signe de sa présence tout là-haut. Juste le rire machiavélique de son père.

Un bruissement dans les branchages le tira de ses pensées. Il leva les yeux vers les mouvements de la végétation, il avait cette allure maigre et faible de ceux qui souffrent , les épaules peu relevées et la tête basse. Le regard éteint, luisant d’une lueur de tristesse, il fixait un point. Quelqu’un s’approchait ? Il sentait l’odeur de son clan, et poussa un soupir. Mais il oublia bien vite que qu'il faisait quand il aperçut le pelage noir de ses rêve le plus fous. Elle ? Cette chatte qu'il aimais ? Et il prononça son nom :

"- Fleur d'Améthyste ? "

« Souviens - toi … »


« Bonsoir Abysse Perdue. Toi aussi tu peine a trouver le sommeil ?

Douce. Sa voix était aussi douce qu'une mélodie en été, qu'une plume glissant sur notre corps. Elle était toujours aussi souriante. Elle était venue vers moi mais pourquoi ? Depuis son baptême de guerrière on ne s'était jamais parlé avant. Elle avait continue son chemin, celui qui lui était destinée. un chemin sans grandes embuche. La joie de cette petite, l'avait lors de son apprentissage, changé. C'est avec impatience que chaque jour, il attendait ce moment qu'il passait avec elle. Abysse Perdue aurait voulut qu'il ne s’arrête jamais, ce temps ou ils étaient si innocent. Inévitablement, le temps s'était écoulée. Quand elle est partie, tout est retombé. les jours heureux sont redevenu ce qu'il était : sombre, triste, abattue. Dire qu'Abysse Perdue était content qu'elle vienne le voir, c'était comme le jour et la nuit, c'était évident. Sans que personne ne le savait il était heureux d’Être a ses côtés. Doucement elle s'assit à ses côtés. son doux parfum m'enveloppa. Décide ment il n'avait pas changé. Elle si, elle était beaucoup plus grande et mince Son petit visage de chaton lui revint dans la tète. Elle était si belle et si gentille. Alors il se tourna enfin vers la chatte ébène, et plongea ses yeux dans son regard. Son joli regard m’emplissait de bonheur.

" - Oui. Comme tu as grandit, je me rappel encore nos journée ou l'on chassait ensemble. Tu est mère de famille maintenant tu doit avoir tout oublié ! "

J'observais la vouté céleste qui trouais au dessus de nos tète. Les étoiles scintillait de mille feu, éclatant de beauté. Se reflétant avec beauté sur le manteau de neige blanche. Abysse Perdue aurais pu trouver sa beau, mais rien a ses yeux n'était plus beau, que la chatte assise a côtés de lui. Tout était terne et morne. Presque tout sauf, il baissa le regard vers la chatte a ses côtés. Sauf elle ... Elle était aussi coloré qu'un arc en ciel en été. Elle brillait de mille feu dans le regard du matou. Rien ne pouvait le rendre aussi heureux de ce qu'elle était devenue maintenant. Une mère, quelqu'un de responsable. Heureux qu'elle s’épanouisse autant. Cela le soulageait vraiment. pendant un bref instant il souris, ce qu'il n'avait pas fait depuis plusieurs jours. C'était faible mais pour lui ce n'était que le commencement. Il admirais beaucoup cette chatte, oui admirais. Elle avait dans son regard cette pointe de vie qu'il n'avait pas, elle souriais malgré tout. Il l'aimait depuis son premier jours lorsque son regard a croisé le tient. Mais des lunes et des lunes sont passée. Sans rien, elle était devenue guerrière et s'était vite passé de lui. Puis elle est devenu mère de famille. Ce petit truc a finit de briser en lui ce qui lui restait de cet organe qu'on appelait "cœur". La souffrance la rendu fou, son désir était tel qu'il aurais pu mourir. Il murmura comme le vent les paroles qu'il aurait du lui dire il y a des lunes.

" - J'aurais aimé que l'on sache plus de chose envers l'un et l'autre, moi je t'ai toujours aimé. Je ne sais même pas ce que je fait encore en vie. "

« Heureusement que tu est encore en vie, je ne sais pas ce que j'aurais fait sans toi. Moi aussi je t'aime. »

Abysse Perdue n’en revenait pas, et il sentait sa vie soudainement illuminée. Son cœur battait fort contre des cotes amaigris. Des larmes salée commençaient a perlé autour de ses yeux. C'était les plus belles phrases qu'il eu entendu de toute sa vie. A présent tout allait changer. il pourrait l'aimer autant que tout son corps, toute son âme et tout son cœur le lui permettraient jusqu'à la fin de sa vie. Il n'arrivais pas à articuler un seul mot à présent. Des larmes de cristal perlaient, il regardait de ses yeux de glace la magnifique chatte qui se trouvait en face de lui et plongea son regard doux dans ses yeux étincelant. A partir de maintenant il pourrai de nouveau vivre, de nouveau espérer. Un seul truc empêchait son bonheur de s'épanouir. Son ancien compagnon, celle avec qui elle as eue ses petits. Qui était-il ? s'il le pouvait Abysse Perdue irais lui pourrir sa petite vie minable. mais rien ne pouvait l’empêcher de pouvoir se frotter à elle. Il s'approcha doucement de son coup, et se frotta à elle non par tristesse mais avec bonheur. Il lui lécha le museau affectueusement tellement son cœur battait la chamade. Ses yeux étincelèrent de bonheur, et ivre de joie il sourirais comme il n'avait jamais souris auparavant. Mais une question lui brulait la gorge :


"- Dit moi Fleur d’Améthyste qui este le père de Petite Ritournelle, Patte de Fée, Petit Paon et Petit Lotus. Je n'ai jamais supporté ceci, mon cœur se serait arrêter si je n'avais pas penser au clan. "

Le guerrier retombait en fatigue, ce petit moment de bonheur c'était écroulé, le sens des ses mots n'avait qu'une seule issues. la vérité, il le savait déjà. Rien que cette idée lui brisa le cœur, il aurais aimé avoir des chatons avec elle. Il en avait déjà mais il n'en prêtai pas une grande intention. Petit Assassin et Petite Complainte ne serais jamais ses enfants comme il devrais en avoir avec son amour de toujours. Bien que ses descendant, il ne pouvait pas les aimer ne serai-ce qu'un peu. il ne pouvait leur témoigner de l'affection comme avec Fleur d'Améthyste. Leur mère, il ne l'avait mais aimée.

« Abysse Perdue, tu va être un des rare chat a le savoir et j'espère que tu pourra le garder pour toi ... Je ne suis pas leur mère. »

Mes yeux s’écarquille, le souffle coupé. Je n'en revenait pas, elle n'était pas leur mère ? Mais alors qui est-ce ? Pourtant les chatons lui ressemblait beaucoup. Quand à leur père, je ne l'es jamais connus. Ses yeux violacé semblait si triste, mon cœur éclatait en mille morceau. son plus grand secret, venait de m’être révélée. Elles s’arrêta de parler quelques secondes mais reprit avec tristesse.

« Leur mère, c'est Jolie Chanson et leur père, Complainte des Océans. J'était présente lors de la mise bas et, avant de mourir, Jolie Chanson ma demandée de prendre soin de ses chatons. J'ai donc acceptée de jouer le rôle de leur mère. Complainte des Océans n'est pas au courant que se sont ses chatons. Seul Ombre D'Argent, Moi et quelques reines le savent. »

Jolie Chanson ? j'avais déjà vu cette chatte. Mais se sont des souvenirs si vague, et leurs père est Complainte des Océans ? Ce gentil guerrier ne savait peut-être que Petit Lotus, Petit Paon, Petite Ritournelle et Patte de Fée sont ses propres petits. Tout tournais autour de moi, les chatons avait 3 lunes mais ne savait toujours pas qui était leurs père ? Moi qui avait grandit sans savait la douleur que cela apportait. Mes yeux cherchaient dans le vide du ciel un moyen de les réconforter et une idée me traversa la tète. Peut-être Fleur d’Améthyste pourrai leurs dire que je suis leurs père. mais la jolie chatte noire me devança :


« Veut-tu bien jouer le rôle de leur père ? Il ont besoin d'un père ... »

Elle se rapprocha de moi, et colla sa tète contre mon épaule. Je serai ravi d’être leur père, mais une image de petit chaton roux et blanc me revient à l'esprit. Petit Assassin, Petite Complainte ... Mes vrais petits, que vont-il devenir ? Je n'en savait rien. Mais Petit Paon, Petite Complainte, Patte de Fée et Petite Ritournelle aurais bien plus besoin de moi. J'adorerai jouer avec eux, leurs apporter des petite boules de mousses. Ils deviendront des guerriers dont je pourrai être fier. Surtout Petit Paon qui sera un merveilleux guerrier. On me tira de mes pensée quand une douceur me caressa la queue. Fleur d’Améthyste m'enroula la queue dans la sienne. Un doux ronron s'échappa de sa gorge.

" - J'accepte avec plaisir d’être leur père ! Mais je serai ravi d'avoir mes propre petit avec toi ! "