Une discution entre mère et fille |Cygne ♥

Je sort de la tanière des guerrier mon épais pelage blanc cassé parfaitement lisse. Un doux coup de vent viens m'accueillir et je retient un feulement de contrariété, je n'aime pas le vent. Je n'aime pas la saison des neiges. Je m'avance dans la clairière jusqu'au maigre tas de gibier. Je soupire et y prélève une maigre souris en me promettant que j'irais chasser tout a l'heure. Je mange doucement le rongeur et observe la clairière, il n'y a pas grand monde. Quand j'aperçoit ma fille sortir de la tanière des apprenties, je lui fait un signe de la queue pour qu'elle s'approche. Quand la jeune apprentie blanche s'approche, je lui fait un signe vers ma moitié de souris :

« Bonjour Nuage de Cygne ! Si tu a faim, tu peut terminer ma souris. Tu a bien dormis ? »

Je souris a ma fille et ronronne doucement, ah, si elle pouvais toujours être une petite chatonne jouant toute la journée ! Je retient un soupir, reprendre la vie de guerrière du jour au lendemain n'est pas des plus simple mais je m'y refait. J'adresse un nouveau sourire quand ma fille me répond :

Mon ventre est bien arrondis, une douleur me prends, je feule et gesticule. Je le vois, mon doux idylle, celui que j'aime, que j'admire, que j'adore.

Tout disparait. Je me réveille peu à peu, revenant à la réalité. Encore un rêve. Je soupire et m'assied, commençant une petite toilette. Les autres apprentis étaient déjà levés. Donc, aucun potentiel mâle avec qui discuter, aucune femelle à qui discuter. De l'entraînement, bien sûr. Je me mets bien sur mes quatre pattes et sort de la tanière des apprentis.

Dehors, ma mère est présente, elle m'invite d'un signe de queue près d'elle. Je m'approche donc d'elle, et elle m'aborde déjà.

« Bonjour Nuage de Cygne ! Si tu a faim, tu peut terminer ma souris. Tu a bien dormis ? »

Je me baisse et mâche le restant de la souris. Le tas de gibier est très amaigri. Le clan se remet doucement de la perte du chef, de différentes choses plus ou moins tragiques. Je réponds à ma mère, souriante et rayonnante :

« Oh oui maman, parfaitement bien dormis avec un doux rêve. Est-ce que tu vas bien ? »

Je ronronne et frotte ma tête contre le poil de ma mère. C'est celle qui m'a donner la vie, et jamais je ne cesserai de l'aimer. Les deux êtres les plus chers au monde pour moi : mon père et ma mère. Même si maintenant je les vois plus rarement, quand on discute ça me fait plaisir.

Ma fille se baisse et mâchonne le reste de souris :

« Oh oui maman, parfaitement bien dormis avec un doux rêve. Est-ce que tu vas bien ? »

Elle ronronne doucement et se frotte à moi, je lui lèche le haut du crâne et un sourire se dessine sur mon visage, je suis heureuse que ma fille et moi ne nous soyons pas éloignée. Je lance un regard vers la tanière des guerrier ou Folie de L'Hiver dors encore. D'une voix douce, je répond à ma fille :

« Je vais bien merci Nuage de Cygne. Quel était ce doux rêve ? »

Un sourire malicieux se dessine sur mon visage et je lèche à nouveau le haut du crâne de ma fille. Je pense que Nuage de Cygne, Avec Folie de L'hiver est une des chats que j'aime le plus et que je chérirais jusqu'à ma mort, c'est ma fille et elle le restera pour toujours. Est-ce que j'aurais une autre portée un jour ? Cela serais formidable et je suis sûre que cela réjouirais Nuage de Cygne, elle est fille unique et je pense que cela la toujours affectée un peu, d'une manière ou d'une autre. Je secoue doucement la tête et mon regard se pose sur la frimousse blanche rayonnante de Nuage de Cygne. Rien ne me fait plus plaisir que de voir ma fille heureuse et en pleine santé.

« Non, il est pour moi se rêve. Mais si tu insistes, bah il est beau. Oh, et papa, il va bien ? Globalement tu as bien repris ton poste ? »

Nuage de Cygne me souris malicieusement et je fait de même, je me lève doucement et lui mordille l'oreille. Je suis heureuse que ma fille soit toujours proche de moi, que nous soyons toujours complice comme cela. Certain chatons s'éloigne de leur parents une fois passer apprentis. Je souris et répond doucement à ma fille :

« J'ai très bien repris mon poste, merci ne t'en soucier et toi, comment trouve-tu la vie d'apprentie ? »

Je baille doucement et m'assoie près de ma fille, j'observe quelques secondes sa belle fourrure blanche. Elle tient sa belle fourrure blanche immaculé de son père. Et peut-être un peu de moi, mais pas totalement. Je secoue doucement la tête et souris à Nuage de Cygne, elle est si belle, c'est mon petit bijoux, mon soleil. Je ne sais pas si je supporterais de la perdre ... Quand sa voix me parvint, je lui lèche doucement la joue.

« Oh, eh bien... Les longues siestes à tes côtés, les jeux avec papa et toi, les amis de la pouponnière qui changent... C'est bien mitigé. je suis heureuse d'un côté parce que je vais pouvoir servir activement le clan, mais d'un autre, je laisse des choses derrière moi. »

Je souris à ma fille, j'avais ressentie la même chose lorsque je suis devenue apprentie. J'était heureuse de devenir apprentie mais je laissais aussi des amis et mes parents derrière moi, malgré cela, j'était heureuse à son âge. J'enroule doucement ma queue autour de mes pattes avant et laisse doucement le soleil réchauffer ma fourrure blanc cassé.

« Tu sais, j'était exactement comme toi à ton âge. »

Je ronronne doucement et tourne la tête vers la tanière des guerrier quand elle frémit. J'agite mes oreilles et je suis un peu déçut quand j'aperçoit Flamme Rousse en sortir, j'aurais bien aimé que ce soit Folie de L'hiver qui se réveille mais il doit encore dormir. Je repose mon regard sur ma fille et laisse un léger coup de vent ébouriffer quelques peu mon pelage.

« Ah ! Oh, et j'ai envie de savoir comment tu t'es connue avec papa. »

Nuage de Cygne ronronne doucement et s'allonge près de moi. Je lui souris et réfléchie quelques secondes, enfaite, nous ne sommes pas rencontré par des histoire farfelues ... Je prend quelques secondes pour mon récit puis je commence, d'une voix douce :

« Eh bien, nous nous sommes rencontré quand nous étions chatons, rapidement, nous sommes devenus inséparables, jusqu'à devenir apprentis le même jours. Nous sommes devenu guerrier le même jours, nous étions toujours inséparables. Et puis, un beau jours, Fatalité du Destin ma annoncé une merveilleuse nouvelle et cette nouvelle, c'était toi ! »

Je lui lèche doucement la truffe et ronronne, je sais que beaucoup de personnes aimerais avoir une relations qui ressemble à la notre, merveilleuse, constante, et, après toute ses lunes, nous sommes toujours aussi amoureux l'un de l'autre, j'en suis sûre. J'aime Folie De L'Hiver et je sais que lui aussi m'aime profondément, tout comme je l'aime. Je souris doucement, que j'aimerais avoir d'autre chatons avec lui, que j'aimerais que notre amour éclose à nouveau mais je ne sais pas si je pourrait à nouveau resté dans la pouponnière à ne rien faire, je ne peut pas, ce n'est pas dans mon genre. J'ai besoin de courir, de chassé et de laissé le vent ébouriffé mon pelage, je souris et lèche doucement le front de Nuage de Cygne.

Quelques secondes sans bruit passent. Maman doit réfléchir. Je souris. Bien sûr que j'adore ma mère, personne ne pourra la remplacée ! Bientôt, Douceur du Temps raconte son récit :

« Eh bien, nous nous sommes rencontré quand nous étions chatons, rapidement, nous sommes devenus inséparables, jusqu'à devenir apprentis le même jours. Nous sommes devenu guerrier le même jours, nous étions toujours inséparables. Et puis, un beau jours, Fatalité du Destin ma annoncé une merveilleuse nouvelle et cette nouvelle, c'était toi ! »

Je souris et éternue presque quand maman me lèche le museau. Beaucoup de chats doivent envier mes parents ! Leur amour fusionnel, leur relation avec moi. Un jour, je deviendrai comme ma mère ! Une mère super attentionnée, qui sera super douce et appréciée ! Encore faut-il que je me trouve un joli compagnon, gentil et qui me défendra au péril de sa vie ! Je ronronne de plus belle. Maman me lèche le front. cette preuve d'affection réchauffe mon coeur et je me dresse sur mes pattes arrières pour lécher le front de maman. Ou presque. On a une petit différence de taille. Mais j'adore ma mère ! Quoi qu'il en soit, on restera une famille unie ! Si maman avait une autre portée, je pourrai m'entraîner à devenir une bonne reine ! Je ronronne encore et encore plus fort, énormément contente, ravie.